Quand on me dira de changer le monde

Je le ferai sans masque et sans esclave

D’une unique famille où tous se fondent

Plus de « ceux-là qui ont », « ceux-là qui savent »

Je briserai le trop et le trop peu

Je donnerai tous leurs droits aux enfants

Je leur apprendrai à dire « je veux »

Je substituerai l’amour à l’argent

Comme la seule richesse des êtres

Puis au lieu et place des prisons vides

Je hisserai un chapiteau de fête

Plein à ras bord de visages sans rides…

Y.B.

 

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