
La nuit s'annonce Aux rives de ton absence Il pleut tristement De l'arbre tranquille Des larmes de soleil couchant Une voix s'égare Et je cherche son écho Seul au milieu du chemin Le silence est chantant Sous la nue parfumée de l'automne Je ferai de ces bonheurs passés Des arpèges de douceur Sur un clavier d'ivoire. Y.B.